Souriez, c’est une aumône !

Aimons sourire pour ouvrir notre cœur aux êtres que l’on croise. Aimons couvrir de nos mots, les peines, les larmes des êtres qui nous toisent.

Il suffit d’être soi, de s’ouvrir pour toucher les cœurs… Le flambeau de nos émotions. Soyons toujours debout, jusqu’au bout de nos pensées. Sans hésitations, notre sourire s’imprègnera de nos états d’âmes pour trouver le vôtre plus haut, plus beau.

Chaque saison est une raison d’aimer, chaque raison est une passion qui doit vous protéger face à vous-même. Encore debout, il faut se hâter pour prendre les bouts de nos mots et tisser un peu d’espoir. Il n’y aucun recueil ni livre qui peux vous apprendre à vivre, aucune leçon qui ne soit adapter à tous.

Notre introspection doit pouvoir nous rendre meilleur. Sur son tapis, en profane, il faut tenter de mystifier notre instant. Aimons sourire, aimons trouver la raison de notre vie dans notre propre épanouissement.

Quand même fâché, qui ose lâcher sa colère sur un seul mot… le silence ? Qui ose utilise ses consonnes pour assommer la tristesse ? Susurrons nos voyelles à nos zygomatiques ! Nous pouvons construire un pont entre nos soucis et l’usine du bonheur. La vie est une pierre qui roule, une page que nous devons tourner, une frustration qu’il faut effacer… l’élévation passe par là. Il n’y a aucun mur que le sourire ne peut détruire. Osons nous instruire par le bonheur, par le cœur et l’instauration d’un nouveau soi.