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Montpellier – Mosquées sous tutelle municipale

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Quand la politique se mêle des Mosquées (1995-1999)

Les Musulmans de Montpellier présentaient à la Mairie des projets de construction de Mosquées qui seraient financés par les fidèles. Mais à chaque fois George Frêche (qui est alors Maire) préempte les lieux. Les projets sont alors abandonnées.

«Vers un contrôle politique de l’Islam à Montpellier» (1997)

Mr. Frêche attribue la gestion d’un bâtiment municipal au Petit-Bard, anciennement une usine de salaison du cochon (charcuterie) appelé Jambon Rex (Soprex) à Mr. Kathir Nedromi. Les musulmans vivent cela alors comme une énorme humiliation. Mr. Tahiri s’était exprimé à cette occasion : «Une mosquée ne se donne pas à une personne mais se donne à toute une communauté.» (Midi Libre, 14/11/1997)

«La politique de gestion de l’Islam, élaborée par Georges Frêche, qui fut sans interruption le maire socialiste de la ville, entre 1977 et 2004, s’est caractérisée par l’élaboration de réseaux clientélistes établis avec les acteurs du culte local, et offrant un contrôle politique de l’Islam. Ces réseaux clientélistes ont exclusivement reposé, jusqu’au début des années 2000, sur la communauté Harkie Montpelliéraine, et plus particulièrement sur le réseau d’acteurs construit autour de la Khatir Nedromi…

1997 : Une nouvelle Mosquée – à l’époque la plus grande de France Ibn Sina (Avicenne) -, est bâtie, à l’ initiative et aux frais de la Mairie, sous le statut municipal de salle polyvalente. L’usage de ce statut public permet au Maire de nommer les gestionnaires associatifs de son choix, et de conserver un contrôle sur . » Adieux aux colonialismes ? Volumes 1 par Bernard Hours, Thierry Pouch.

«Les urnes et Frêche» (2002)

Mr. Georges Frêche fait passer lors du Conseil Municipal (compte-rendu Conseil Municipal de Montpellier de Février 2002), la construction d’une salle polyvalente à la Paillade, qui coûtera plus d’un million d’ euros à la ville et dont la vocation reste à peine voilée. Cette salle est alors promise à Mr. Tahiri un employé municipal, qui va la gérer à travers l’ Association Franco-marocaine dont le Président était alors à l’ époque Mr. Amnih AbdelKader (Paix à son Âme). Il avait cédé son poste de Président à Mr. Tahiri pour répondre aux exigences de Mr Frêche. Cette attribution était bien entendus une «promesse électorale». Malgré tout, son échec électoral aux législatives de Juin 2002 était inévitable. Il avait fait l’objet d’un boycott massif des musulmans, à cause de son mépris banalisé à leurs égards. «Des oreillons aux imams analphabète» Georges Frêche multipliait ses insultes lors de ses apparitions publique, on peut même dire qu’ il n’en ratait pas une ! Reprendre le contrôle de la Paillade était devenu pour lui impératif, en même temps il voulait répondre à sa promesse et asseoir son pouvoir en établissant ce projet de Mosquée à la Paillade ou dirais-je salle polyvalente !

« A l’ image des autres partenaires musulmans de Georges Frêche, cette association de quartier (la Franco-Marocaine) se singularise par des rapports d’allégeance vis-à-vis du pouvoir municipal. Durant la campagne des élections législatives de 2002, pendant laquelle le député Maire est la cible de vives critiques par des habitants des quartiers populaires, certains démontrèrent leurs soutien politique au candidat sortant en organisant, à quelques jours du scrutin, une réunion publique à la Paillade-Mosson. «NOUS DEVONS RESPECTER LES CANDIDATS, LES ELUS. ON A LE DROIT DE FAIRE CE QU’ON VEUT, MAIS EN RESPECTANT LA RÉPUBLIQUE. LE MAIRE EST UN ÉLU, ON NE PEUT PAS TOLÉRER CE GENRE DE MANIFESTATION.» Si cette rencontre à été présentée comme un événement politiquement «neutre», des consignes de vote indirectes semblent toutefois avoir eu lieu : «POUR LES ELECTIONS, SACHEZ VOTER UTILE, POUR LA RÉPUBLIQUE ET NE PAS DISPERSER LES VOIX.» Adieux aux colonialismes ? Volume 1

«Convention d’occupation précaire en guise de bail» (2004)

«La salle polyvalente ouvre ses portes aux fidèles Musulmans de la Paillade sous le nom de Mosquée Avérroès, Abu Walid Ibn Rochd»

La salle polyvalente ouvrait ses portes en septembre 2004, avec l’arrivée du Ramadan et ses nuits de prières sous la direction religieuse de l’Imam Mohamed Khattabi, un canadien qui prêche aussi bien en Français qu’en Arabe, dont les discours attirent les foules et sont très appréciés surtout auprès de la jeunesse Musulmane.

La salle était encore dans son état brut lorsque les premières prières furent célébrées avec ses murs gris et son sol bétonné. Pour prier les fidèles amenaient leur tapis. Elle ne ressemblait en rien à une Mosquée si ce n’est la fontaine extérieure. Les travaux d’embellissements et techniques pouvaient commencer. Installation de la sonorisation (2004 et 2007), coûta 6.000 euros. La faïence orientale était posée en 2005 avec les soins précieux de AbdelKader Amnih puisqu’il a posé une grande partie de cette faïence malgré son grand âge (Paix à son Âme), pour un coût de 10.000 euros. Puis l’agrandissement de la mezzanine des femmes, la façade interne, le Mihrab , le Minbar, les moulures artisanales marocaines, la calligraphie Coranique, les lustres orientaux importés du Maroc pour un coût total 36.000 euros. Des moucharabés traditionnesl de Fès venaient orner la mezzanine des femmes (elles peuvent voir ce qui se passe en bas sans être vues), le Minbar et autres offerts par la ville de Fès (environs 60 m²) furent posés. Puis, les tapis de prière en 2008 pour un coût de 15.000 euros. Cette salle municipale devenait peu à peu de par son allure grâce à la générosité des fidèles une Mosquée, la Mosquée Avérroès de la Paillade. Les travaux ne s arrêtent pas là puisque la climatisation fut posée en 2009 et coûta 10.000 euros. Et enfin, le forage du puits pour lequel je ne peut chiffrer le coût puisque pris directement en charge par les fidèles. Vous devez savoir que tout les travaux effectués furent toujours pris en charge par les fidèles certains allant jusqu’à offrir leur or pour voir aboutir tout ces projets d’aménagement de la Mosquée. J’en profite au passage pour remercier ceux- ci et prie Allah pour que leurs efforts ne soit pas en vain (ici-bas, vous comprendrez plus tard le pourquoi de mes propos).

«Les conflits s’installent» (2006)

Le Tribunal de Montpellier condamne la ville de Montpellier pour avoir financé la construction de salles dites Mosquées. La Franco-Marocaine y voit une opportunité pour acheter cette salle et faire d’une pierre deux coups : La municipalité pourrait récupérer l’argent dépensé et ainsi la condamnation n’aurait plus lieu et les musulmans deviendraient propriétaire de leur Mosquée ! Cette petite lueur d’espoir s’est vite éteinte.

La convention d’occupation précaire (une sorte de bail qui met les locataires dans une totale précarité comme le nom l’indique) qui avait été signé par Mr. Tahri Lhoussine et qui engageait la Mairie à l’Association Franco-Marocaine pour la gestion de ce lieu, devait se renouveler à chaque fois pour un an. Cela mettait l’Association dans une situation très difficile avec le fait d’avoir cette peur toujours à l’esprit de ne pas voir le bail se renouveler l’année suivante.

C’est ainsi que des groupes ou clans sans scrupules se succédèrent auprès du Maire Mme Mandroux, afin de lui exposer leur projet de prendre les rênes de la direction de la Mosquée. Il régnait une division qui mettait en condition ces événements. Nombreux sont ceux qui tentèrent cela. La réponse de la Maire était toujours « faites vos projets et on verra». Ils y voyaient un encouragement, alors qu’en vérité, c’était une manière de les maintenir tous sous sa tutelle.

«Non à l’ingérence» (2009)

Les responsables de l’association Franco-marocaine excédés par les multiples manipulations de la Mairie décident d’organiser une manifestation. Une dizaine de bus avaient été loués par l’association afin de transporter les fidèles après la Prière de Jumua, jusqu’au parvis de la Mairie. Devant lequel l’Imam Khattabi prononça un discours, pendant que les responsables étaient reçus à la Mairie. Les fidèles scandaient leurs messages à travers des pancartes, ont pouvait y lire en autres « Stop au mépris et à l’ingérence», «Non aux salles polyvalentes, oui aux Mosquées». Mr. Tahri déclarait à la presse ( Midi Libre) : «On a l’impression que la ville veut récupérer la salle, qu’on est devenus gênants surtout moi ! Un jour on me dit on te soutient et j’apprend qu’on dit le contraire. On en a ras le bol ! On veut une vraie démocratie et que ce sont les fidèles qui choisissent celui qui doit gérer… Ils veulent une Mosquée morte, fermée entre les prières et sans les cours de soutien qu’on donne… » !

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Ce que Mr. Tahri cherchait à transmettre à travers ces paroles, c’est que voilà, comme je le dis précédemment, des groupes se succédaient revendiquant la direction de la Mosquée auprès de Madame le Maire et repartaient avec l’espoir de voir leurs projets aboutir. Enfin, c’est ce qu elle leurs laissait sous-entendre. Diviser pour mieux régner, Et puis, ce statut du bail qui devaient à chaque fois être renouvelé. Il fallait trouver une solution.

«tentative de putsch» (2011)

D’anciens membres du Bureau de la franco-Marocaine tentent de prendre le contrôle de la Mosquée. Un Putsch dirigé par l’ancien secrétaire de la Franco-Marocaine qui tenta de prendre la présidence. Ils firent changer toutes les serrures. Et quelle fut la surprise du concierge et de l’Imam lorsqu’il arrivèrent ! L’imam fut violemment agressé alors qu’il voulait simplement se rendre dans son bureau. (Il fut hospitalisé 3 jours pour un malaise cardiaque). Mais quelle journée ! Ce qui paraissait encore plus étonnant est la présence du service d’ordre de la Maison pour tous ! Une question légitime peut se poser, quel était le rôle de la Mairie dans ce putsch ? Comment ils ont été affectés là ? C’est difficile de croire que la Mairie n’y est pour rien ! Même si les putschistes affirmèrent avoir agi de leur propre chef, le doute persistera toujours dans le cœur de ceux qui étaient présents. J’irai encore plus loin, puisque j’ ai assisté à cela, c’est qu’on a retrouvé sur les grilles devant la Mosquée, un kteb ( gri-gri) indéchiffrable ! La magie était aussi au rendez-vous on dirait ! Mais bon, je le rapporte ici juste pour vous montrer jusqu’où peut aller la folie de certaines personnes ! Mr. Tahri déclarait alors : « Depuis 2009, ce sont les mêmes qui créent les conflits.»

L’ironie du sort c’est qu’avec ces mêmes, qu’ il administre aujourd’hui officieusement la Mosquée « Les ennemis d’hier sont les amis de demain !». Pendant que certains fidèles cherchent à s’investir pour leur Mosquée en voulant participer aux réunions (lorsque des fidèles essayent de participer aux réunion, ils les annulent). Eux, s’organisent dans un café de Malbosc ! Et oui, lorsque les affaires de la Mosquée se débattent dans un café on peut dire «Bonjour les dégâts ! ».

«La plus grosse arnaque : Le bail emphytéotique» (2012)

La Mairie envoie un courrier à Mr. Tahri dans lequel elle l’invite à créer une nouvelle association 1905, pour signer le fameux Bail emphytéotique. C’est ainsi qu’il enterra définitivement la Franco-Marocaine et créa l’association ACMIR ( Association Cultuelle de la Mosquée Ibn Rochd) avec l’aide d’un secrétaire Mr. Yacoubi, un trésorier Mr. Oudai Lahcen et un conseil d’administration de 25 membres. ( Conseil qui n’ a jamais été consulté dans aucune décision, d’ailleurs aucune Assemblée Générale n’a jamais eu lieu depuis sa création, les signatures sont prises à l’ arrache dans la cour de la Mosquée lorsqu’il y a nécessité sans que les signataires puissent prendre connaissance des documents signés!).

L’association était crée, Mr Tahri son Président pouvait enfin signer ce Bail Emphytéotique qui était en vérité une pure arnaque à l’égard des musulmans !

La tutelle s’ exerçait avant avec un faux-bail qu’ils dé nominent «convention d’occupation précaire » (comme je l’ explique plus haut) une dénomination explicite dans son sens et des conditions injustes qui ballotent les musulmans d’année en année les laissant miroiter un avenir meilleur pour la Mosquée !

Avec le Bail Emphytéotique, c’était pire, la tutelle se maintenais mais sur 50 ans ? Vous savez pourquoi ? Parce les clauses stipulent que l’affectataire (locataire), ne peut en aucun cas exiger un renouvellement ! Sans compter toutes les conditions aberrantes qu’elle contient. Comme l’obligation de faire des travaux pour une somme dépassant les millions aux frais des fidèles (pour Petit-Bard 4 millions, pour la Paillade un peu moins).

Bien sûr à la fin du bail pas question de réclamer quoique ce soit en dédommagement des frais occasionnés ! Cela permet au pouvoir local de maintenir son joug « socialiste» et en même temps faire fructifier leurs investissements dans cette salle. Des conditions totalement abusives. Il est important, voir impératif que les musulmans de Montpellier s’organisent pour remettre les choses en ordres.

Les musulmans on cru se libérer d’un fardeau avec ce bail mais ils se sont trompés ou plutôt on été trompés ! Dès le début, la Mairie a montré une volonté de siéger dans nos mosquées. Pourquoi dès le début, n’ont-ils pas revendu cette salle (par exemple, une location-achat) ? Tout simplement parce que nos dirigeants sont des béni oui-oui qui se courbent pour garder leur pouvoir, sans penser à la Oumma et aux conséquences de leurs actes. Pouvoir qui leur permet d’en profiter ainsi que leur famille ( travail, logement..).

Il faut savoir que les musulmans on déjà dépensé plus de 150.000 euros en travaux, et l’association n’a même pas le droit de démonter – si elle le voulait – ce qui a été effectué ! En fait, les musulmans sont en train de donner de la valeur à un bien qui ne leur appartient pas (ou plutôt que pour une courte durée, alors ce sont leurs enfants qui auront un problème et ils auront investit leur argent pour rien), qui ne leur appartiendra jamais du moins pas avec ACMIR. Voilà, l’arnaque du l’ année, on peut dire.

Est-ce que le Président Mr. Tahri a signé sans lire ? Sait-il ce que contient le bail ? Dans tout les cas, c’est lui le responsable, c’est lui le Président, c’est lui qui signe et c’est à lui de protéger les intérêts des fidèles ! (et si seulement, il avait montré ce bail à l’Imam!)

Pour finir, je relève la question sur le sujet des 360.000 euros qui dorment dans le compte de l’association ACMIR depuis deux ans !

«Portes Ouvertes» (2012-2013)

La mosquée ouvre ses portes au public, elle attire de nombreuses foules curieuses de connaître l’Islam et les musulmans. Des stands sont organisés pour informer les visiteurs, on offrait des livres sur l’Islam, sur le prophète (PBSL) et un couscous fut offert en signe d’hospitalité. C’était une réussite, car ces gens sont repartis ce jour avec plus d’ouverture envers la communauté Musulmane, d’autres étaient rassurés car ils avaient trouvé réponse à leur interrogation, puis il y a ceux dont le cœur s’est ouvert à l’Islam. De cette journée sont nés des convertis.

Une porte ouverte est programmée en Septembre 2013 mais ne sera jamais organisée, le Président Mr. Tahri refuse de renouveler l’expérience malgré le succès de celle-ci. On peut se demander pourquoi ? C’est vrai, l’Etat peut craindre que de nouveaux convertis viennent gonfler les rangs des musulmans, c’est vrai aussi qu’ils sont la cible des médias ces derniers temps.

Octobre 2013

Aïd Mabrouk ! Vous allez avoir une belle surprise ! Et la surprise fut Moure à qui Mr. Tahri avait offert un podium et un micro ! Il a fait son apparition ce jour là, une apparition qui cache à peine sa manœuvre électorale, un clientélisme habituel des socialistes. Mais on est habitué avec Mr. Tahri, qui est un très bon client de la ville, puisqu’en dehors de son poste de Président, il profite lui, son épouse et sa fille d’un travail dans la municipalité (et sa c’est pas gratuit) ! Le candidat PS aux municipales 2014 invité à parler le jour de Aïd, certains diront que ce n’est rien, on en a besoin et d’autres condamneront pour ma part il m’a fallu deux bonnes heure pour me calmer, j’était énervée mais pourquoi donc on leur offre un podium ? Toujours, est-il, qu’il a pris le micro ce jour là pour enchérir l’auditoire : «messieurs, mesdames les musulmans, je vais vous faciliter les travaux que vous demandez, (même si ces travaux sont obligatoire et stipulés dans le bail, même si cet argent sert a fructifier le bien de la Mairie) et je vais vous aider à agrandir votre mosquée» ! Voilà, à 7 mois des municipales le tour était bien joué ! La consigne était claire : « Votez pour moi et j’ agrandis votre mosquée (c’est vrai qu’elle devient trop petite mais plus pour longtemps)!» Mr. Moure venait de gagner les primaires et maintenant il gagnait les musulmans présents ce jour là (plus de 5.000 ) !

Bien sur, l’Imam était contre mais il est rentré quand même dans le jeu et le regretta, Dieu merci !

23 Novembre 2013

L’Imam quitte la Mosquée parce qu’il apprend qu’un procès verbal était rédigé derrière son dos, pendant qu’il prêchait son discours de Jumua, les dirigeants de la Mosquée s’étaient réunis dans la cuisine pour comploter leur décision. Rédiger un procès verbal durant le discours de Jumua venant de la part de gens qui laissent dormir l’argent des musulmans dans un compte bancaire et produit de l’usure n’est pas étonnant ! Je ne suis pas crue, ni dure mais juste véridique à l’égard de ceux qui se font passer pour des bienfaiteurs alors qu’ils sèment la corruption dans les rangs des musulmans.

On ne peut rien reprocher à l’Imam, si ce n’est qu’il leurs avaient trop fait confiance, il les avait protégé lorsqu’il le fallait, conseillé lorsqu’ils demandaient, aidait lorsqu’ils étaient dans la détresse. Et, tout ceux qui le sollicitaient trouvaient en lui un Imam qui sait répondre religieusement à leurs attentes, un Imam qui cherche à plaire à Allah plutôt qu’à l’homme. C’est Allah qui donne et c’est aussi Allah qui reprend. Je dis çà parce qu’Allah avait donné un Imam à la Paillade, qui convenait à la relève qui est nos jeunes enfants mais Allah l’a repris.

Voilà, en gros, ce que je voulais partager avec vous. Mes frères et sœurs en Allah. Je demande à Allah d’aider cette Oumma, de nous aider à construire un vrai projet, une vraie mosquée qui nous appartient et dont les fondations seront basées sur Sa crainte.

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